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Articles et reportages 2014

Après, une pause, retour au chaud… Pepe Torres, bailaor… non, guitariste. El toque de Morón, presque Diego por seguiriyas. Et puis ses cantaores et guitaristes le rejoignent sur scène pour un spectacle, sans autre prétention que de partager tant sur scène, qu’avec le public. C’est un de ces spectacles festifs, coulant et libre. Chacun y a sa place et compartit. La danse est ciselante et élégante, elle marque, soutient et relève le cante. Le toque s’y incruste et ouvre le chemin au cante ou l’inverse. Tradition et vérité, c’est cela que nous avons apprécié avec une belle sonorisation cette fois. Rien de spécial, « solo arte » sans artifices. On pourrait énumérer le répertoire, mais non… cela n’est pas important ici. Cante pa’lante, esos tientos-tangos… me gusta… et puis esa Minera, vamonos pa Cartagena à por un fín de fiesta. Public conquis, un momento d’authenticité… suranné, non, inspiré oui…


El Arte Flamenco

Ese que se vive, ese que se comparte

Ahí están las cosas

Esas que valen Pepe




M. Morillas




Galerie photos : Festival Flamenco de Nîmes, José Valencia et Pepe Torres cliquez ici



Dossier de presse Festival Flamenco de Nîmes 2014 cliquez ici

  

1ère partie

José Valencia

2ème partie

Pepe Torres

El arte flamenco

16 janvier

Théâtre Bernadette Lafont

José Valencia est en première partie de cette soirée au Théâtre. Un grand moment de solitude et de courage. Nul besoin de présenter ce puissant cantaor, habitué du Festival. Un répertoire éprouvant et connaisseur était prévu. Et le public l’a eu. Cantiñas, mais que se passe-t-il ? Certes le son, contrairement à ce que nous avons l’habitude, n’est pas parfait, trop de reverb… mais il semble que la voix de José lui joue des tours… Soléares, et là, effectivement, pauvre José, la voix ne lui obéit plus… le public compatit et interjecte, il souffre pour lui… Juan Requena, admirable et dévoué, le soutient de son toque. José sort de scène quelques instants puis revient. « No voy a defraudar » dit-il. Et c’est vrai, le public le pousse et lui repart avec sa rage aux tripes et reprend possession de la scène de sa voix puissante et aigüe. Malagueña, fandangos et siguiriyas de Jeré y los Puertos. Et puis ces bulérías au cante si particulier de su Tierra… Romance por buerías… debout en bord de scène, debout dans la salle, son public est là et le soutient, l’acclame… le redemande… Martinete, bis bis… Toná… On gagne une bataille, Nîmes en est témoin. Sur le moment, on est ravis, content de voir que tout est rentré dans l’ordre, que les peurs ne sont pas du registre de José Valencia, mais en fait, nous voudrions encore profiter longtemps de son cante. José Valencia est lancé dans une carrière prometteuse, et même si son registre, exigeant n’avait pas été tenu jusqu’au bout… cela n’aurait rien changé… José Valencia est José Valencia et nous l’aimons, ou pas,  pour ce que nous savons qu’il est… plus rien n’est à prouver…


Cuando vayas por el camino

No te olvides de quien eres

Porque aunque te digan “corre”

Son tus pasos los que te llevan