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Articles et reportages 2011

André Marin

La pasion segun se mire
14 janvier 2011

Théâtre de Nîmes









                                                                                                                    © Joss Rodriguez



C’est selon…

C’est ainsi que cela commence, c’est ainsi que cela fini…

C’est le début, c’est la continuation, c’est la destructuration ou la restructuration.

C’est la passion, la compassion, la répression de nos visions instruite par notre vision des choses, teintée de nos devoir, de nos acquis et de nos obligations. Etat de fait naturellement acquis, hérité, reconstruit sur le sillon de la perpétuité. Intellectualisé ou brut ?

C’est qui ? C’est quoi ? C’est pourquoi ? Donde ? Duende ? Peso ? Tradicíon ?

Instrumentation hétéroclite, pas tant que cela, elle appuie la rythmique du corps. Si je vous le dis ! Modernité presque futuriste, mais presque incertaine, car ce n’est pas mon point de vue. Je ne sais pas, peut-être, finalement ton point de vue, maintenant que tu m’en parles, je le comprends, je n’avais pas vu cela sous cette angle…

Andrés, nous parle de passion, plutôt, il nous laisse des sentiments, ceux qui selon son point de vue illustrent sa passion. Quel point commun avec le spectacle ? Justement, je pourrais parler de soleares, de tangos, alegrias, saetas et de styles  et de compas… Non je ne veux pas… hier soir j’ai préféré subir, justement observer la passion du point de vue de ma place de spectateur. C’était somme toute pour cela que j’étais là non ? Ce fut difficile, un vrai duel ! Plein de passion ! Mais arrêtons-nous sur la passion, pourquoi de la passion ? Parce justement, la passion porte en elle tout le poids de la vie, celle passée, celle présente et celle à venir. La passion porte en elle aussi les stigmates… celle du temps passé, du temps présent et aussi les doutes et les peurs de l’avenir. Rythmée par les étapes de la vie, la passion se conjugue aussi sur le destin de l’Humanité, sur les codes, sur les visions, sur les appréhensions et les devoirs. Elle s’infiltre dans les interstices du temps, pour finalement ne laisser que des émotions jaillir des épuisettes de l’apprenti-sorcier, car personne ne maîtrise la passion. Par contre, celle-ci est certainement plus indicible qu’elle n’y paraît. C’est ce défi qui a été relevé, Une naissance, maternité, ou réalisation métaphysique et vie au long cours, frappée de la rythmique gutturale de premier choix, de la confrontation traditionnelle et hérissante de magie des pas déchaussés de Concha Vargas, de la justesse contorsionnée et dépouillée de Andrès Marín… pour faire court… une heure trente de régal… mais que de questions ouvertes ! La passion, selon, mon point de vue… pour le reste, je n’ai pas envie d’en parler, c’est mon point de vue !  


J.M. Izquierdo




                                                                                                                       Résumé de Telemiroir :  

                                                                                                           






















© Joss Rodriguez



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